On a coutume de dire que “si c’est facile, ce n’est pas du Pilates”.
Ce qui est difficile en réalité, et surtout un peu déstabilisant lors des premières séances, c’est que l’on a le sentiment qu’il faut penser à tout : comment se placer, quand inspirer et expirer, penser à stabiliser une partie du corps tandis que l’autre bouge… Cela exige de la concentration. Se familiariser avec ces consignes et ce nouveau vocabulaire demande quelques séances, comme toute nouvelle discipline.
Si vous conduisez, rappelez-vous les premières fois au volant : quand changer de vitesse, quand mettre son clignotant, penser à regarder régulièrement dans vos rétroviseurs… Aujourd’hui, vous n’y pensez plus, ce sont devenus des automatismes. Le Pilates c’est pareil.
Quant à la difficulté de la pratique, elle est progressive. Le répertoire des exercices de niveaux “débutant à avancé” permet de s’adapter et d’évoluer avec vous.